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Défense de la loi El Khomeri : Un test de dialogue social et d'accord d' entreprise antérieur qui la valide. Le lancement du plus grand paquebot du monde Harmony of the seas.

La CGT, syndicat devenu très minoritaire parmi les salariés se donne pour but de paralyser l' activité economique de tout le pays pour des raisons dont on voit que la loi travail n' est qu'un prétexte.Pour le moment elle ne semble pas susciter un rejet massif de son action pro domo, loin des intérêts réels des salariés, du fait de la détestation du libéralisme, attisée par des médias peu soucieux de faire comprendre aux citoyens la complexité de l' économie mondialisée, qui incline un grand nombre de ceux-ci à « comprendre » et donc à "accepter" son jusqu'au-boutisme et sa violence, puisqu' ils considèrent que cette violence est justifiée face à un capitalisme sauvage qui exploiterait toujours davantage le pauvre au profit du riche, le riche devenant toujours plus riche, le pauvre toujours plus pauvre selon la loi d' accumulation du capital et de paupérisation du prolétariat de Marx.

 

La France a connu un événement capital dans son histoire : Sa grande révolution universelle de 1789.

De celle-ci a découlé ce fait justement capital qui rend cette révolution capitale : les paysans qui travaillaient une terre qui depuis des siècles ne leur était que prêtée moyennant de multiples charges prélevées par les seigneurs ont obtenu la pleine propriété de cette terre nourricière débarrassée de toutes ces charges féodales. La majorité des Français dans les campagnes accédait à la propriété. La France rurale majoritaire allait donner le ton à notre société.

De là, non l'acceptation mais la tolérance du développement de l' industrie regardée avec méfiance à partir du milieu du XIX ème siècle.

La France n' a pas vraiment désiré son industrialisation, d'où plusieurs conséquences qui culminent avec le régime de Pétain dans le slogan « La terre ne ment pas » et son rejet de la grande industrie. La terre est la mère nourricière qui ne ment pas comme ne peut mentir une mère.

La ville est aussi une femme mais elle est avec l'usine en son sein la grande prostituée, la grande Babylone, la grande Sodome, la grande Gomorrhe.

Encore aujourd'hui, on ne parle que de défense de la ruralité, est-ce que c'est parce que l'on ne peut parler de défense de la culture Française issue de la civilisation gréco-romaine et forcément chrétienne, ou bien à cause des traces de cet ancrage profond et multiséculaire des Français dans la terre avec son apothéose de l'acquisition de sa propriété par eux avec la révolution française ? Sans doute les deux. De même une certaine écologie n'est-elle pas la continuation de cette croyance que la terre ne ment pas, que la ville avec son industrie est nocive ?

Paradoxalement c'est cette croyance d'une nocivité intrinsèque de la ville de l'industrie qui explique comment la vision marxiste de la société a pu s'imposer avec une lutte des classes au sein de l'usine, de l'entreprise, entre les capitalistes, exploiteurs et dans leur essence mauvais et les ouvriers, le prolétariat porteur de la vérité de l'histoire et de sa fin, de son apothéose avec la venue de la société sans classes ; en contradiction avec la notion de corps social et de collaboration des classes pourtant plus en accord avec la pensée d'une terre qui ne ment pas dont nous voyons la traduction dans la fable d'Esope « l' estomac et les pieds » :

« L'estomac et les pieds disputaient de leur force. A tout propos les pieds alléguaient qu'ils

étaient tellement supérieurs en force qu'ils portaient même l'estomac. A quoi celui-ci répondit:

«Mais, mes amis, si je ne vous fournissais pas de nourriture, vous-mêmes ne pourriez pas me

porter.» Il en va ainsi dans les armées : le nombre, le plus souvent, n'est rien, si les chefs

n'excellent pas dans le conseil. »

que nous retrouvons chez Tite-live (II,32,8) :

« Le sénat décida d'envoyer Menenius Agrippa haranguer la plèbe:

c'était un homme qui savait parler et il avait les faveurs de la plèbe

dont il était issu. Autorisé à entrer dans le camp, il se borna, dit-on, à

raconter l'histoire suivante, dans le style heurté de ces temps éloignés.

Autrefois le corps humain n'était pas encore solidaire comme

aujourd'hui, mais chaque organe était autonome et avait son propre

langage ; il y eut un jour une révolte générale : ils étaient tous furieux

de travailler et de prendre de la peine pour l'estomac, tandis que

l'estomac, bien tranquille au milieu du corps, n'avait qu'à profiter des

plaisirs qu'ils lui procuraient. Ils se mirent donc d'accord : la main ne

porterait plus la nourriture à la bouche, la bouche refuserait de

prendre ce qu'on lui donnerait, les dents de le mâcher . Le but de cette

révolte était de mater l'estomac en l'affamant, mais les membres et le

corps tout entier furent réduits dans le même temps à une faiblesse

extrême. Ils virent alors que l'estomac lui aussi jouait un rôle aussi,

qu'il les entretenait comme eux-mêmes l'entretenaient, en renvoyant

dans tout l'organisme cette substance produite par la digestion, qui

donne vie et vigueur, le sang, qui coule dans nos veines. Par cet

apologue, en montrant comment l'émeute des parties du corps

ressemblait à la révolte de la plèbe contre les patriciens, il les ramena

à la raison. »

et surtout chez mon cher La Fontaine dans sa fable « Les membres et l'estomac » :

« Je devais par la Royauté
Avoir commencé mon Ouvrage.
A la voir d'un certain côté,
Messer Gaster en est l'image.
S'il a quelque besoin, tout le corps s'en ressent.
De travailler pour lui les membres se lassant,
Chacun d'eux résolut de vivre en Gentilhomme,
Sans rien faire, alléguant l'exemple de Gaster.
Il faudrait, disaient-ils, sans nous qu'il vécût d'air.
Nous suons, nous peinons, comme bêtes de somme.
Et pour qui ? Pour lui seul ; nous n'en profitons pas :
Notre soin n'aboutit qu'à fournir ses repas.
Chommons, c'est un métier qu'il veut nous faire apprendre.
Ainsi dit, ainsi fait. Les mains cessent de prendre,
Les bras d'agir, les jambes de marcher.
Tous dirent à Gaster qu'il en allât chercher.
Ce leur fut une erreur dont ils se repentirent.
Bientôt les pauvres gens tombèrent en langueur ;
Il ne se forma plus de nouveau sang au coeur :
Chaque membre en souffrit, les forces se perdirent.
Par ce moyen, les mutins virent
Que celui qu'ils croyaient oisif et paresseux,
A l'intérêt commun contribuait plus qu'eux.
Ceci peut s'appliquer à la grandeur Royale.
Elle reçoit et donne, et la chose est égale.
Tout travaille pour elle, et réciproquement
Tout tire d'elle l'aliment.
Elle fait subsister l'artisan de ses peines,
Enrichit le Marchand, gage le Magistrat,
Maintient le Laboureur, donne paie au soldat,
Distribue en cent lieux ses grâces souveraines,
Entretient seule tout l'Etat.
Ménénius le sut bien dire.
La Commune s'allait séparer du Sénat.
Les mécontents disaient qu'il avait tout l'Empire,
Le pouvoir, les trésors, l'honneur, la dignité ;
Au lieu que tout le mal était de leur côté,
Les tributs, les impôts, les fatigues de guerre.
Le peuple hors des murs était déjà posté,
La plupart s'en allaient chercher une autre terre,
Quand Ménénius leur fit voir
Qu'ils étaient aux membres semblables,
Et par cet apologue, insigne entre les Fables,
Les ramena dans leur devoir. »

 

http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/jean_de_la_fontaine/les_membres_et_l_estomac.html

 

 

Cette analogie biologique de la société avec le corps humain, signifie que, comme le corps humain, la société est un ensemble intégré de membres diversifiés dans leur fonction mais contribuant au bon fonctionnement de l’ensemble, chacun restant à la place qui lui est attribuée par la nature ou par dieu. Dans ce cas, on a une représentation organique de la société qui nie l’indépendance de l’individu et la structuration de la société en classes, ce que l’histoire reconnaît pourtant comme un fait, depuis Aristote au moins. Ou si elle ne nie pas cela, cette conception refuse l’idée que les classes sociales ont des intérêts contradictoires et peuvent entrer en conflit légitime, pour cette idée qu'elles peuvent collaborer harmonieusement, c'est ce que traduit l'encyclique « Rerum Novarum » du pape Léon XIII (1891) qui se réfère à Thomas d’Aquin qui, au XIII° siècle écrivait : « La société forme un corps dont les membres sont les parties, et les parties sont subordonnées au tout. » Dans cette société organique tous les membres sont solidaires entre eux. Nous sommes en présence d'un ordre naturel voulu par dieu auquel chaque individu doit soumission.

«Dans la société, les deux classes sont destinées par la nature à s’unir harmonieusement dans un parfait équilibre ; elles ont un impérieux besoin l’une de l’autre : il ne peut y avoir de capital sans travail, ni de travail sans capital ».

Léon XIII conçoit bien l’existence des classes sociales mais par leur nature elles ne peuvent que collaborer.

Pourquoi ce long préambule pour parler d'un des derniers fleurons industriels de la France, les chantiers navals de l'Atlantique d' où sont sortis en d'autres temps le Normandie et le France, devenus la STX, dédiée à la construction de navires pour passagers, de navires militaires ( les fameux porte-hélicoptères Mistral à livrer à Poutine), de navires spécialisés ( d'habitation pour les champs offshores, de recherche, d'avitaillement) et dans les énergies marines ( éoliennes). STX est détenue à 66,6 % par STX Europe qui appartient au conglomérat sud-coréenn STX corporation et par l' état français à 33,3 %. STX corporation est en difficulté et est poussé à vendre STX Europe.

Ce qui nous intéresse c'est que STX France malgré son savoir-faire, ses prouesses technologiques s'est retrouvée en grande difficulté à partir de 2008. La commande des porte-hélicoptères par la Russie lui a permis de survivre mais avec une absence de marge menaçant sa pérennité d'autant que à cause des 35 heures, des charges s'alourdissant sur les entreprises Françaises elle en était venue pour trouver des commandes à consentir des prix au-dessous du seuil de rentabilité.

La nécessité pour qu'elle ne sombre pas était de lui redonner de la compétitivité, pour cela un pacte de compétitivité social devait être négocié avec ses syndicats.

Ses syndicats sont la CGT qui représente 33 % de son personnel, la CFDT 31 %, FO 19 % et la CFE-CGC 16 %

Donc CFDT + CFE-CGC = 47 %

CGT + FO = 52 % des 2000 salariés de STX.

CFDT et CGE-CGC ont acceptés de négocier et finalement de signer un accord de compétitivité qui aboutit au blocage sur 3 ans de la moitié des RTT auxquels ont droit les salariés, donc un accord qui aboutit à travailler plus pour renforcer la compétitivité de STX et lui permettre de remporter le marché de 2 navires de croisière que désirait concrétiser un client traditionnel et fidèle de STX France, l'italien MSC. Mais celui-ci obtenait de la part de deux concurrents de STX, l'italien Fincantieri et l'allemand Meyerwerft, des prix beaucoup moins élevés. Le marché risquait d' échapper à STX. C'est pourquoi la CFDT et la CGE-CGCD ont résolument pris parti pour ce contrat de compétitivité pour sauver non seulement les 2000 emplois de STX leur entreprise mais aussi les 4000 emplois des sous-traitants.

La CGT comme à son habitude à refuser toute négociation puisqu'elle remettait en cause un des « avantages » des salariés, ces fameuses RTT et FO lui a emboîté le pas. Or pour que le contrat de compétitivité soit entériné, il fallait la non-opposition des syndicats représentant une majorité des salariés. Souvenez-vous CGT+FO = 52 % des salariés.

Moins dogmatique semble-t-il que la CGT, FO qui bien souvent aligne ses positions sur celle-ci a décidé de monnayer sa non dénonciation de l'accord, consciente peut-être qu'il y avait vraiment danger pour la société et faisant en même temps d'une pierre 2 coups, 1) une non collaboration avec la direction comme CFDT-CGE-CGC lui permettant de se démarquer mais aussi 2) avec la position de la CGT, jusqu'au boutiste. Tout le monde ne sait pas que FO est prise en étau entre la CFDT résolument réformiste et la CGT résolument anti-réformiste ( elle ne signe jamais d'accord d'entreprise même si ensuite elle les accepte). La direction de STX lui a permis de sauver la face en accordant pour 2014 une revalorisation salariale de 2,4 %. A partir du moment ou FO ne s' oppose plus au contrat de compétitivité celui peut être signé puisque seule la CGT qui ne représente que 33 % des salariés s'y oppose.

La suite est une querelle entre nos grandes centrales syndicales, parce que après cet accord MSC passe sa commande de deux navires de croisière mais aussi un autre client traditionnel de STX l'américain Royal Caribbean Cruises LTD lui passe commande d' un deuxième plus grand navire de croisière du monde représentant une prouesse technologique puisqu'il pourra malgré ses dimensions accoster dans le plus grand nombre de ports mais qu'il sera très économe en énergie, L'Oasis 4, un mastodonte de 360 mètres de long et 60 de large pour 60 000 tonnes d'acier, qui pourra emporter quelque 8 000 passagers et membres d'équipage. Il sera le jumeau de l'Oasis 3, le plus grand paquebot au monde, dont le premier bloc a été mis sur cale dans les anciens Chantiers de l'Atlantique vendredi 2014. "Nous allons construire non pas un, mais deux navires Oasis ici à Saint-Nazaire", a annoncé lors de la cérémonie le PDG de Royal Caribbean Cruises Ltd (RCCL), Richard Fain. "Ce matin, nous sommes parvenus à un accord sur l'Oasis 4", s'est-il réjoui.

En pratique, l'armateur américain va lever l'option qu'il avait prise lors de la commande de l'Oasis 3 en décembre 2012, à un moment où les Chantiers traversaient une phase critique. Le nouvel Oasis, dont le coût sera d'environ un milliard d'euros, comme son prédécesseur, doit être livré dès le printemps 2018 et représentera l'équivalent de "10 millions d'heures de travail", selon le directeur général de STXFrance, Laurent Castaing. Sans compter les commandes confirmées de la SNCM, de ferries ( mais là, le problème est que les syndicats par leur intransigeance ont mis en péril la survie de cette société, je crois inutile de préciser de quels syndicats il s'agit ! ) Voir mon article

 

http://jplatina.blogspot.fr/2014/07/barre-sur-les-t-cross-ts.html

 

et aussi sans compter la compagnie bretonne Brittany Ferries qui emploie 1700 marins, qui a signé une commande de 270 millions d'euros avec STX France, du plus grand ferry au monde de 210 mètres capable de transporter 2400 passagers qui sera livré en 2017, en plus d'une commande ferme signée entre les deux partenaires de Pegasis (pour Power Efficiency Gathering in Sensor Information Systems), d'un projet de bateau à propulsion au gaz naturel liquéfié (GNL), en gestation depuis 2009. Brittany Ferries, qui vient de fêter ses 40 ans, mise gros sur ce projet. Elle compte réduire sa facture énergétique et se conformer à la réglementation européenne qui obligera les compagnies maritimes à réduire leurs émissions d'oxyde de soufre de 10 %.

Donc un succès industriel incontestable d'une remarquable entreprise autrefois dans le giron d' Alsthom que notre gouvernement n'a pu empêcher de passer sous le contrôle de GE, voir mon article

 

http://jplatina.blogspot.fr/2014/06/une-grande-victoire-du-gouvernement.html

 

comme il n'a pu empêcher que les chantiers navals de l' Atlantique passe sous le contrôle de STX.

Je reviens à ma querelle inter-syndicale. Il s'agit devant ce succès industriel qui va permettre d'embaucher de nouveaux salariés donc d'aller dans la direction d'une inversion de la courbe du chômage de savoir à qui il revient, syndicalement. En premier, à la CGT, à FO ou aux « collabos » CFDT-CGE-CGC.

Bien entendu pas aux « collabos » CFDT-CGE-CGC mais à FO qui a obtenu un amoindrissement de la "dureté" du contrat de compétitivité et surtout à la CGT qui a montré une fois de plus qu'elle ne cédait pas devant le patronat, les actionnaires, la finance mondiale. De toutes façons Royal Caribbean Cruises Ltd et MSC, clients traditionnels de STX ne pouvaient changer de partenaires. Cela aurait été trop coûteux de changer de type de navires… ?! On peut toujours rêver. A part les drogués d'I phone, il n'y a pas de client captif dans la mondialisation.

J'en reviens à mon long préambule sur lutte des classes ou collaboration des classes.

Nous avons là un parfait exemple d'une collaboration ( oups ! effaçons ce vilain mot), de coopération de classes entre des syndicats qui ont compris où était l'intérêt de leurs mandants, tenants d'un éthique de responsabilité et de syndicats, tenants d'une éthique de conviction, arc-boutés sur le fait que nos entreprises ne sont pas en compétition avec des entreprises du monde entier et qu'en période de chômage de masse le principal est de réaffirmer les droits acquis des salariés et non pas de les remettre en cause à la marge pour réduire le chômage en redonnant de la compétitivité à nos entreprises. Puisse Le gouvernement se rallier comme il le proclame à cette éthique de responsabilité et donner la priorité à la lutte contre notre chômage de masse par une politique de l'offre.

Tout le monde devrait le savoir comme le montre le « désastreux » cas allemand, où, scandale ! on préfère de petits emplois, des salariés pauvres pour moins de chômage, à plus de chômage avec des chômeurs bien et longuement indemnisés pour qu'ils se taisent et ne se mobilisent pas immédiatement pour retrouver un emploi en faisant pression sur notre « merveilleux » service public de l'emploi dont l'efficacité est telle qu'il se résout pour diminuer le nombre des chômeurs à recourir à des agences privées de recherche d'emploi, - tout le monde par conséquent, devrait savoir, qu'après la politique de l'offre une politique de la demande redevient possible.

Mais après...

 

Dernière nouvelle du 15/05/2016

Quand des syndicats osent quitter la mer de sargasses de la lutte des classes, les entreprises se redressent comme STX qui vient de livrer le plus grand paquebot de croisière du monde "Harmony of the seas" 
La CFDT, la CGE-CGC et finalement FO ont eu raison de consentir au plan de redressement proposé par la direction en quittant le terrain chérie en France de l' idéologie  pour le réel.  

Défense de la loi El Khomeri : Un test de dialogue social et d'accord d' entreprise antérieur qui la valide. Le lancement du plus grand paquebot du monde Harmony of the seas.
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Tag(s) : #Chomage, #Croissance, #Haine sociale, #Libéralisme, #Mondialisation, #Made in France
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